Un rare cognac de plus de 18 ans en provenance de l'Ile d'Oléron.
Les vieux cognacs insulaires sont environ 30 fois plus rares qu'une Grande Champagne du même âge (si l'on se réfère aux stocks disponibles sur l'ensemble de l'appellation).
Ce Cognac millésimé provient d'une famille de notaires installée à Cognac depuis plusieurs générations. Cette Petite Champagne 1973 faisait partie de la succession du père, qui avait légué ses stocks à son épouse et à son fils, notaire comme lui.
Le père avait acheté ce lot en janvier 1974 à l'un de ses clients, qui était alors le président d'une des plus importantes maisons de Cognac.
Ce Cognac provient d’une propriété de Bonneuil, l’un des meilleurs terroirs de la Grande Champagne. Les 3 fûts que Grosperrin a acheté en 2012 à cette famille proviennent de l’indivision d’André Noblet, lequel avait réalisé 3 assemblages différents avec les eaux-de-vie de son propre père. Celui-ci est l’un d’eux.
Ce rare Cognac provient de la commune de la Brousse, à proximité de Matha, d’une petite exploitation. Le producteur né en 1952 possède encore des cognacs distillés par son père et son grand-père.
Ce Cognac est le fruit de l’assemblage de deux lots, réalisé sur les conseils d’une grande maison de Cognac, par le viticulteur lui-même. Le Cognac fut mis en bonbonnes au cours de l’année 2000.
Ce Cognac millésimé provient d’une exploitation fruitière située en Saintonge. Ayant débuté en 1971 avec 10 hectares de pommiers, cette exploitation compte aujourd’hui quelques 100 hectares d’arbres fruitiers, et quelques hectares seulement de vignes.
Ce terroir rustique, constitué d’argiles et de marnes, est réputé peu apte à la viticulture. Cependant, une bonne conduite de la vigne, une distillation soignée et un vieillissement de qualité, parviennent à donner à ces Cognacs un caractère typé, puissant et équilibré, de plus en plus recherché par les amateurs.
Ce Cognac millésimé provient d’une famille de notaires installée à Cognac depuis plusieurs générations.
Cette Petite Champagne 1973 faisait partie de la succession du père, qui avait légué ses stocks à son épouse et à son fils, notaire comme lui. Le père avait acheté ce lot en janvier 1974 à l’un de ses clients, qui était alors le président d’une des plus importantes maisons de Cognac. Ce lot provient donc de la distillerie et des chais d’une maison toujours réputée aujourd’hui. Malheureusement, au décès du père, le fils et sa mère ne s’entendaient plus et la succession s’enlisa pour de nombreuses années, jusqu’à ce que nous proposions une solution.